Glaciation en cours !

Publié le par suivi-tropicalbear

Nous vivons des instants Historiques !

J'envisageais un violent rebond probable à Court Terme... C'est toujours possible... Et même plus que probable.

Mais les graphiques du Dow Jones et les indicateurs techniques indiquent que nous allons très probablement vivre un Krach Monumental dans les jours / semaines à venir !

Si les Etats et autorités financières diverses ne font rien "d'Enorme" avant la fin Août... Fin Septembre ce sera le Chaos !

Regardez ci-dessous les 3 indicateurs techniques sur le DJ :

MACD, RSI et Stochastiques en Hebdomadaire... Ils ont tous les 3 un grand potentiel de chute dans leurs zones de survente en Hebdo...

Le passage en zone de survente du RSI et Stochastique implique un effet "Pop-Corn" avec forte accélération Baissière...

Le Stochastique Hebdo peut aller entre 3 et 6..., le RSI entre entre 18 et 22...

Le 2ème Graphique envisage les objectifs sur les cours...

Elément "Déclencheur" ? Les Banques et investisseurs sont à cours de Cash, de liquidités et vendent à tout prix pour récupérer ce qu'ils peuvent... + Faillites de quelques banques ou Traders dans ce contexte... et voila, vous obtenez une énorme Catastrophe Mondiale...

 

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B
<br /> Le risque caché : si la Grèce sort de l’euro, c’est l’Allemagne qui explose en premier !<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Le débat fait rage chez les économistes allemands. La Bundesbank, qui possède 465 milliards d’euros de créances sur l’Eurosystème, est de plus en plus exposée à l'éclatement de la<br /> zone euro.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Lors de la création de l’euro, les pays ont gardé leur banque centrale, bien qu’ils entrassent dans une monnaie unique. La structure formée de toutes ces banques centrales et de<br /> la Banque centrale européenne (BCE) se nomme « l’Eurosystème ». Il s’agit d’une bizarrerie, normalement à une monnaie doit correspondre une seule banque centrale. Une étude d’Eric Dor de l’Iseg<br /> met en lumière les effets délétères de cette construction baroque.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Au lieu d’avoir une banque centrale qui centralise les transactions de l’ensemble des banques européennes, chaque banque est en liaison avec la banque centrale de son pays. La<br /> liquidité est fournie par les différentes banques centrales, et les banques commerciales déposent leurs réserves non pas à la BCE, mais dans leur banque centrale.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Ainsi, quand une entreprise grecque achète un produit allemand, une banque grecque transfère de l’argent à une banque allemande. Et la Bundesbank (la banque centrale allemande) se<br /> retrouve avec une créance d’autant sur la Banque centrale de Grèce. A cela se rajoute les fuites de capitaux : personne ne prête aux banques grecques qui doivent donc se tourner vers leur banque<br /> centrale, et en plus les déposants grecs vident leurs comptes pour les transférer à l’étranger.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> On comprend ainsi que les banques centrales des pays exportateurs accumulent des créances de plus en plus importantes sur celles des pays importateurs : les prêts de la Bundesbank<br /> au reste de l’Eurosystème atteignent le chiffre record de 465 milliards d’euros (en octobre 2011) ! En contrepartie, les dettes des banques centrales des pays de la périphérie de la zone euro se<br /> sont envolées, pour atteindre 118 milliards d’euros pour l’Irlande, 108 milliards d’euros pour l’Espagne, 101 milliards d’euros pour la Grèce, 89 milliards d’euros pour l’Italie ou 57 milliards<br /> d’euros pour le Portugal.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Les risques pour l’Allemagne sont énormes. Au cas où la zone euro éclaterait, la Bundesbank subirait des pertes gigantesques sur ces créances, car les nouvelles monnaies (drachme,<br /> etc.) perdraient de la valeur par rapport à l’euro. Dans un tel scénario, la Bundesbank devrait être recapitalisée par l’État allemand, qui verrait sa propre dette publique s’envoler.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Et même sans rupture de la zone euro, la Bundesbank s’expose à des pertes potentielles. En effet, la Banque centrale de Grèce fournit de plus en plus de liquidité aux banques<br /> grecques, on l’a vu, mais en échange de quoi ? En échange d’actifs (le « collatéral »), mais il faut gratter les fonds de tiroir et ceux-ci sont de moins en moins bonne qualité (des bons du<br /> Trésor grecs par exemple…). A un moment il faudra bien enregistrer des pertes sur ces actifs dévalués, et ils seront à la charge de l’Eurosystème tout entier (dont la Bundesbank est « actionnaire<br /> » à hauteur de 30%, soit autant de pertes).<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Cette information est stupéfiante. On aurait voulu mettre un mécanisme d’autodestruction au cœur même de l’euro qu’on ne s’y serait pas pris autrement.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> On comprend les cris d’horreur de nos gouvernants lorsqu’est évoqué une sortie de la Grèce de la zone euro : cela provoquerait une implosion du cœur de la zone euro, le pays le<br /> plus vertueux, l’Allemagne, étant le plus touché ! On voit aussi qu’une faillite bancaire en Grèce impacterait instantanément toute la zone euro.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Il s’agit clairement d’un vice de construction de l’euro. Peut-on d’ailleurs encore parler de monnaie « unique » quand plusieurs banques centrales peuvent interagir et créer un<br /> risque systémique ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Philippe Herlin.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://www.atlantico.fr/decryptage/risque-sortie-grece-euro-explosion-bundesbank-dette-allemande-eurosysteme-philippe-herlin-269086.html<br />
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B
<br /> En zone euro, quatre Etats sont notés AAA.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Ces quatre Etats AAA sont des Etats du nord de l'Europe : l'Allemagne, les Pays-Bas, le Luxembourg, la Finlande.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Dans les mois qui viennent, ces quatre Etats AAA accepteront-ils de payer davantage pour aider les autres Etats de la zone euro ?<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Dimanche 15 janvier 2012 :<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Un grand patron allemand évoque une sortie de l’Allemagne de l’euro.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Le patron du géant allemand des gaz industriels Linde, Wolfgang Reitzle, a pris position pour une sortie de l’Allemagne de la zone euro au cas où l’on ne parviendrait « pas à<br /> discipliner les pays en crise », dans une interview au magazine Spiegel, à paraître lundi 16 janvier. « Si on ne parvient pas à discipliner les pays en crise, l’Allemagne doit se retirer »,<br /> déclare M. Reitzle, ajoutant « ne pas croire personnellement qu’il faille sauver l’euro à tout prix ».<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Selon l’hebdomadaire, M. Reitzle est le premier patron d’une entreprise cotée à l’indice Dax des 30 valeurs vedettes de la Bourse de Francfort à prendre une telle position.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> « Ce scénario n’est à mes yeux pas souhaitable, mais il ne doit pas non plus être considéré comme tabou », a souligné le chef d’entreprise, qui considère qu’après le choc des<br /> premières années lié à sa sortie de l’euro, l’économie allemande pourrait retrouver toute sa compétitivité.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Un-grand-patron-allemand-evoque-une-sortie-de-l-Allemagne-de-l-euro_6346-2032422-fils-tous_filDMA.Htm<br />
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B
<br /> Vendredi 13 janvier 2012 :<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Les banques suspendent les négociations sur la dette de la Grèce.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Les banques ont annoncé vendredi qu'elles suspendaient leurs négociations avec Athènes sur les modalités de la restructuration de la dette publique de la Grèce, et laissé entendre qu'elles<br /> pourraient revenir sur leur engagement à en effacer volontairement une grande partie.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> L'Institut de la finance internationale (IIF) écrit dans un communiqué que, "en dépit des efforts des dirigeants grecs", la proposition des banques d'abandonner 50% de la dette de l'Etat grec en<br /> leur possession, "n'a pas abouti à une réponse ferme et constructive de la part de toutes les parties".<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> "Dans ces conditions, les discussions avec la Grèce sont suspendues pour permettre une réflexion sur les bénéfices d'une approche volontaire" ajoute ce texte publié au nom de l'Américain Charles<br /> Dallara, directeur général de l'IIF, et du Français Jean Lemierre.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> La notion "d'approche volontaire" fait référence à l'accord qui avait été conclu fin octobre entre les créanciers privés de la Grèce et les dirigeants de la zone euro. Les premiers s'étaient<br /> alors engagés à renoncer d'eux-mêmes à recouvrer environ 100 milliards d'euros sur leurs créances afin d'éviter une faillite désordonnée du pays.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Quelques minutes après l'annonce des banques, une source proche des négociations a dit à l'AFP à Athènes que celles-ci traversaient un état de tension "extrême", et que les parties impliquées<br /> devaient "prendre conscience de la très grave situation" pour "éviter le pire".<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://www.boursorama.com/actualites/les-banques-suspendent-les-negociations-sur-la-dette-de-la-grece-a7680ce899f296e29006dddc42fdc63a<br />
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B
<br /> Doucement vers l'abîme.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> En ce début d'année, les dix-sept pays de la zone euro cheminent plus que jamais vers l'abîme. Aucune des deux urgences ayant fait l'objet de plusieurs « sommets historiques » ces<br /> derniers mois n'ont été traitées : la Grèce se dirige vers un défaut total d'ici au mois de mars, et l'Europe n'a toujours pas mis en place de mécanisme de sauvetage crédible.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> De ce fait, alors que la crise grecque entre dans sa troisième année, la parole politique est sérieusement décrédibilisée. Il y a longtemps que les dirigeants européens ont perdu<br /> leur triple A auprès des marchés financiers ou plutôt, devrait-on dire, des épargnants qui, dans le monde entier, se demandent s'il est bien raisonnable de leur faire encore crédit.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Comment en serait-il autrement ? Depuis plus de deux ans, les Européens répètent que le sauvetage de la Grèce est une question de survie pour la zone euro. Que le projet européen<br /> lui-même serait en ruine si l'on échouait à Athènes. Que c'en serait fini du rêve d'une Europe puissante, capable de faire jeu égal avec les autres grands blocs économiques de la planète... Or<br /> que font-ils face à l'obstacle ? Ils renâclent, tergiversent, posent des conditions, gagnent du temps, bref se montrent incapables de résoudre la crise d'un pays représentant à peine 3 % de la<br /> richesse du continent. Hier, à Berlin, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel ont une fois de plus sonné l'alarme. Mais ils ont aussi donné un sentiment d'impuissance alors que quatre signes<br /> inquiétants, en ce début d'année, montrent que la catastrophe n'est pas loin.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Le premier, on l'a vu, est l'imminence d'un défaut grec. Le second est la montée de la défiance vis-à-vis de tous les pays de la zone euro à l'exception de l'Allemagne : hier,<br /> pour la première fois, des investisseurs ont prêté à des taux négatifs à Berlin, autrement dit ils ont préféré payer l'Etat allemand pour placer leurs liquidités auprès de lui plutôt que de<br /> prendre le risque de les conserver ailleurs. Le troisième est le gel des transactions entre banques, celles-ci ne se faisant plus confiance entre elles. Le quatrième est le repli sur le court<br /> terme  : pour les Etats comme pour les entreprises, les horizons de prêt se raccourcissent.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Un sursaut massif est indispensable pour éviter que tout le système financier européen ne se grippe et n'entraîne le continent dans l'abîme. Il sera vite trop tard.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Nicolas Barré.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://www.lesechos.fr/opinions/edito/0201832353127-doucement-vers-l-abime-272970.php<br />
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B
<br /> Mardi 10 janvier 2012 :<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> L’agence de notation Fitch annonce que l’Italie risque de perdre son A+.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Il y a de fortes chances pour que la note de l’Italie, actuellement à « A+ », soit dégradée lorsque Fitch aura terminé sa revue des six pays de la zone euro que l’agence de<br /> notation a mis sous surveillance avec implication négative, a dit mardi l’un de ses responsables.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> « L’une des choses qui pourrait aider l’Italie, mais sur laquelle le pays n’a aucune prise immédiate, serait de retirer la prime liée à la crise de liquidités, une situation qui<br /> suppose la nécessité d’une protection », a déclaré David Riley, responsable mondial des notes souveraines, à des journalistes.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> « Pour l’instant ce n’est pas possible, et c’est une réelle source d’inquiétude concernant l’Italie. C’est l’une des raisons pour laquelle l’Italie est sous surveillance avec<br /> implication négative, et c’est l’une des raisons pour laquelle, lorsque nous aurons terminé la revue, il y a des des chances significatives pour que la note du pays baisse », a-t-il ajouté en<br /> marge d’un séminaire organisé par Fitch.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> Les cinq autres pays de la zone euro placés sous surveillance avec implication négative par Fitch sont la Belgique, l’Espagne, la Slovénie, l’Irlande et Chypre.<br /> <br /> <br />  <br /> <br /> <br /> http://www.lemonde.fr/crise-financiere/article/2012/01/10/fitch-annonce-que-l-italie-risque-de-perdre-son-a_1627739_1581613.html<br />
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